La peinture glycérophtalique est au cœur de nombreux débats et elle s’achète de moins en moins. En cause ses effets néfastes sur l’écologie, mais aussi sur les personnes. Pourtant cette peinture aux caractéristiques uniques peut encore trouver sa place dans une habitation. Cet achat demande simplement plus de réflexion qu’avec d’autres peintures en essayant de peser au maximum le pour et le contre.
La peinture glycérophtalique : kézako ?
La peinture glycérophtalique ou glycéro est en réalité l’autre nom que l’on donne à la peinture à l’huile. Elle est composée d’une résine qui va permettre la liaison entre les différents pigments colorés. Elle se trouve chez de nombreux professionnels de la peinture à Nancy. Ce sont des solvants qui lient les éléments entre eux et son évaporation va permettre aux pigments de se fixer sur la surface à peindre. Ces mêmes solvants sont à l’origine de la diffusion de COV ou Composés Organiques Volatils qui sont eux même la source de la pollution et des risques sanitaires.
Avantages et inconvénients
La peinture glycéro présentent de nombreux avantages, et ces derniers permettent à ce matériau de garder une place importante dans les rayons des magasins de peinture :
- La peinture glycéro permet d’avoir un rendu beaucoup plus lisse que les autres peintures. Elle ne laisse aucune aspérité grâce à son pouvoir masquant qui va combler les petits trous ou vices du mur où elle sera appliquée.
- La peinture glycéro se nettoient très facilement à l’eau et garde sa couleur à vie contrairement à d’autres peintures qui se ternissent ou perdent de leur éclat.
Les défauts que l’on peut trouver à cette peinture sont les suivants :
- La peinture acrylique a un temps de séchage très long. Il faut en effet presque une journée complète avant de pouvoir appliquer une seconde couche.
- La peinture acrylique émet des COV qui sont nocives à la fois pour l’environnement, mais aussi pour l’homme.